
L’histoire est prévisible, mais pas ennuyeuse. Il a un certain nombre de grands moments, les références de genre ne sont pas aussi inspirées qu’elles l’étaient dans ParaNorman mais elles sont amusantes à repérer, et j’ai adoré beaucoup de gags de style burlesque. Surtout le zombie Beethoven, les Hors-d’Oeuvres au fromage hurlant, les têtes réduites ne dérangent pas les balises et les fouilles à Twilight (beaucoup plus épanouissant que n’importe lequel des films réunis). Mais il a beaucoup de coeur. L’idée du père surprotecteur est-elle clichée ? Bien sûr. Mais je l’ai trouvé vraiment touchant au lieu d’exagéré comme je l’ai vu décrit. Le passé de Dracula est également montré d’une manière sombre et émotionnelle. Les personnages ne sont pas les plus mémorables que j’ai jamais vus, mais ils ont leur sympathie, mon préféré ici était Dracula. Et le doublage était étonnamment génial, pour moi d’un non-fan qui l’a aimé dans certains films (Punch Drunk Love, Reign Over Me, Spanglish et Happy Gilmore) et l’a détesté dans d’autres (Jack et Jill, Going Overboard, Zookeeper et Mr Deeds) Adam Sandler donne l’une de ses meilleures performances ces derniers temps dans le rôle de Dracula, il est vraiment drôle et émotif au lieu d’irritant. Selena Gomez se termine en tant que fille Mavis et Adam Samberg apporte un peu d’héroïsme à Jonathan. Kevin James, David Spade, Jon Lovitz, Fran Drescher et surtout Steve Buscemi apportent un soutien solide. En conclusion, étonnamment bon. 8/10 Béthanie Cox